La Garantie Chômage du Chef d’Entreprise
Grâce à votre adhésion à la CPME Moselle, vous pourrez souscrire, à des conditions intéressantes, au contrat d’assurance chômage de notre partenaire GSC (Garantie chômage du chef d’entreprise).
La GSC est une assurance perte d’emploi pour les entrepreneurs et dirigeants d’entreprise : en garantissant le maintien d’un certain niveau de revenu pendant une période définie, la GSC permet de transformer le risque de perte d’emploi en opportunité de rebondir.
Elle est un outil de maîtrise de risque : lorsqu’on entreprend, l’échec, l’insuccès de son entreprise, fait partie des risques ; l’anticipation des risques fait partie du métier de dirigeant ; la GSC permet de maîtriser ce risque et de sécuriser son avenir, son parcours professionnel, en atténuant les conséquences pour ses proches, son patrimoine.
La GSC est un élément de sécurisation des périodes de transitions, fréquentes et inévitables dans la vie d’un entrepreneur : ce qui fait un entrepreneur, c’est qu’il sait s’adapter et apprendre, qu’il a cette agilité, cette capacité à se réinventer, nécessaire au monde d’aujourd’hui. Il rencontre dans sa vie professionnelle des occasions, des opportunités et des risques, dont il n’a pas toujours la maîtrise, qui échappent parfois à toute prévision, et qui peuvent mettre son entreprise ou sa situation au sein de l’entreprise en danger. La sécurité, pour un entrepreneur, provient de la préparation au risque.
La GSC permet de percevoir une indemnité de perte d’emploi, calculée sur la base des revenus antérieurs (55% ou 70%), pendant 12 à 24 mois, et de bénéficier d’un accompagnement en vue de rebâtir un projet professionnel.
La GSC s’adresse aux dirigeants mandataires sociaux ou dirigeant TNS (travailleur non salarié) concrètement : aux PDG, Dg de SA, Président de SAS, gérant de SARL (qu’il soit gérant minoritaire, égalitaire majoritaire), chef d’entreprise en nom personnel, artisan, commerçant, créateurs/repreneurs d’entreprises.
La GSC couvre le dirigeant d’entreprise dans tous les cas de perte involontaire d’emploi à la suite :
d’une révocation ou du non renouvellement de son mandat,
d’une cessation d’activité sous contrainte économique : liquidation judiciaire évidemment, dissolution anticipée, restructuration, fusion ou cession de l’entreprise.